Alors voilà l’affaire avec Coco.gg (tu connais, le tchat gratos un peu chelou) : le 25 juin 2024, les flics + la justice balancent l’arrière : le site s’est pris une fermeture judiciaire.
Pourquoi on ferme Coco ?
Parce que ce tchat, c’était open bar : tu peux te connecter sans inscription, sans vérif, juste un pseudo, et hop — c’est la porte ouverte aux très grosses dérives.
Au fil du temps, des mecs ont abusé de ce laxisme : escroqueries, pièges, agressions — y’a eu homophobie, pédophilie, des guets-apens… c’est devenu un vrai repaire d’horreurs.
Le proprio, Isaac Steidl, s’est fait choper en Bulgarie.
Bref, la justice a dit “non merci” : site fermé, serveurs saisis, et fin de l’anonymat total qui permettait tout et n’importe quoi.
Ce que ça dit sur l’anonymat & le danger du net
Le truc, c’est qu’un site super simple d’accès, anonyme, sans contrôle, ça peut paraître cool — genre “parle à qui tu veux, sois toi-même, pas de prise de tête”. Mais en vrai, c’est un terrain miné : quand tout le monde peut entrer sans filtre, les psychopathes, arnaqueurs, prédateurs… ils débarquent.
Coco, c’est un exemple de ce que peut devenir Internet quand tu laisses l’impunité totale : censure de responsabilité, absence de modération, et finalement des vies brisées.
Est-ce qu’il y a un remplaçant après Coco ?
Beaucoup de gens ont cherché “un chat gratuit comme Coco”, en espérant retrouver l’ambiance, la facilité de tchat. Mais après ce qu’il s’est passé, il est clair que personne ne devrait reprendre le flambeau. Parce que le modèle même était toxique : anonymat + accès libre = gros danger.
Si tu veux discuter en ligne sans tomber dans des trucs louches, vaut mieux viser des plateformes qui sont régulées, modérées, qui respectent la loi.
Ce que ça nous apprend — un peu de morale (ouais)
C’est que derrière un écran, c’est pas le vide. Ce sont des vrais gens, avec des vrais sentiments, des vulnérabilités. Quand tu donnes carte blanche à l’anonymat, ça attire des personnes toxiques.
Donc internet, ça doit être un espace de respect, de responsabilité. Liberté ok — mais y a des limites, surtout quand le risque pour les autres est réel. (Et sérieux — ce n’est pas juste “ton pseudo + tchats” : ça peut endommager des gens.)


